Energie. Les biocarburants nouveaux sont vantés pour ne pas entrer en compétition avec les cultures alimentaires. Mais ils ne seront pas disponibles à la pompe avant la fin de la décennie et à des coûts encore élevés.
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Jean-Louis Bal, responsable des Energies renouvelables à l’Agence pour le développement et la maîtrise de l’énergie (Ademe) met également en garde contre le bilan carbone (les émissions de gaz à effet de serre) des biocarburants, même de seconde génération. “Si une terre était déjà cultivée ça ne change rien. Mais si on convertit des prairies, ou pire, une forêt, qui stockaient des quantités considérables de CO2 qu’on relâche dans l’atmosphère, le bilan devient catastrophique”.http://www.clicanoo.com/?page=article&id_article=183819
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