mardi 10 avril 2012
L'ASPE a tenu son Assemblée Générale
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mardi 6 mars 2012
Adieu l'ami...
Publié par ASPE à 16:02 1 commentaires
jeudi 3 septembre 2009
Invitation de Mr PAUL HUTION à une "balade botanique"
Vu sur le blog de L'ESPRIT D'EQUIPE
Si nous avons choisi de vous présenter le cornouiller sanguin, c’est parce que nous avons notre, et votre, environnement à cœur, et que nous nous inquiétons des nuisances et autres potentielles pollutions liées à un développement industriel à notre sens bien mal maîtrisé…
Un certain PAUL HUTION nous a invité à une petite « balade botanique » du côté du … rond-point situé à côté de l'usine Saipol. Il parait qu’on peut y admirer de beaux cornouillers sanguins qui portent bien leur nom tellement ils sont rouges.
« En vous approchant un peu, vous chercherez et découvrirez des feuilles qui sont partiellement recouvertes par d’autres au dessus. Soulevez délicatement et observez la nette différence de couleurs. La partie ombragée est restée bien verte, par contre, celle au soleil est bien abîmée. Par curiosité vous vous éloignerez vers Courtavant ou Marnay et vous pourrez constater sans peine que les cornouillers y sont beaucoup moins rouges, globalement ils sont encore verts".
Il semble que le cornouiller soit une des espèces les plus sensibles à la pollution par l'ozone. Ces dernières années des observations semblables * ont été faites dans le sud de la France, c'est la première fois que ce phénomène est observé dans notre région.
Pour mémoire, lors de l'enquête publique, Saipol avait prévu de brûler 500 000 000 de m3 de gaz naturel par an, soit l'équivalent énergétique de 20 000 t de pétrole. A cela il faut ajouter le gaz brûlé par la papetterie, et les gaz d'échappement des camions et autres véhicules. Toutes ces combustions produisent des oxydes d'azote qui, avec le soleil, permettent la formation d'ozone toxique pour les poumons et pour la végétation.
Depuis 2003, ARNICA MONTANA étudie, avec la collaboration du Laboratoire de la Pollution Atmosphérique (L.P.A.) de l'I.N.R.A. l'impact de l'ozone sur la végétation naturelle des Hautes Alpes Cette année les premières colorations attribuables à l'ozone ont été observées a partir du 10 juillet sur des feuilles de Cornouiller sanguin (Cornus sanguinea) dans le secteur de Puy-St-André et Saint Martin de Queyrières.)
Cliquez sur le lien suivant :
http://arnica.montana.free.fr/Bio-indication/biosurveillance%20ete%202006.htm
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mercredi 5 août 2009
Bioéthanol : les langues se délient…
Depuis 2005, la Confédération paysanne dénonce l’impasse que constitue le développement des filières industrielles de production d’agrocarburants et le bilan énergétique particulièrement médiocre des filières éthanol. Notre analyse se trouve aujourd’hui confortée suite à la participation d’un de nos adhérents à l’étude post Grenelle ADEME/ Bio IS sur les bilans énergétiques et environnementaux des agrocarburants. Cette analyse, dont une synthèse est jointe en annexe, sera présentée lors d’une conférence de presse organisée en septembre au siège du syndicat. Malgré nos avertissements, de nombreuses coopératives se sont engagées dans les projets de production d’éthanol de céréales (BENP - Téréos à Lillebonne, ABENGOA à Lacq et CRISTANOL 2 à Bazancourt), encourageant les producteurs à signer des engagements de livraison assortis le plus souvent de souscriptions de parts sociales, ceci avec l’appui des Chambres d’Agriculture et de certains représentants professionnels Depuis quelques jours, des salariés dirigeants de certaines de ces coopératives montent au créneau pour dénoncer l’absence de rentabilité, actuelle et à venir, des filières éthanol de céréales, ne permettant pas aux producteurs d’espérer une valorisation intéressante des volumes engagés. Ainsi, Jean Pierre Cochet, directeur général de la coopérative de Champagne-Ardenne Cohésis, lourdement engagée dans le projet CRISTANOL 2 de Bazancourt ( 10% de sa collecte de blé pendant 10 ans) s’interroge sur la pérennité de ce projet face à la perspective de la baisse de la « défiscalisation » de l’éthanol, qui représente une subvention très importante pour cette filière, et de sa mise en concurrence avec l’éthanol de canne à sucre, produit avec une efficacité énergétique beaucoup plus forte. ORAMA, filiale spécialisée Grandes Cultures de la FNSEA, en est aujourd’hui réduite à demander la mutualisation de l’approvisionnement des usines d’éthanol, ceci pour faire supporter à l’ensemble des producteurs les conséquences de choix politiques inappropriés dont elle a été l’un des principaux artisans.
La Confédération paysanne formule le vœu que cette affaire, dont le dénouement est proche, serve de leçon à chacun, et notamment aux décideurs politiques, parfois trop prompts à donner raison à des groupes de pression, sans prendre le temps d’étudier les avis contraires.
Publié par ASPE à 23:03 0 commentaires
lundi 20 juillet 2009
Une étude de l'Ademe remettrait en cause les biocarburants
Les carburants verts, qui devaient nous affranchir du pétrole, semblaient parés de toutes les vertus environnementales. Mais une étude de l'Ademe sur leur bilan CO2 serait peu flatteuse et sa publication vient d'être reportée. Polémique.
Pourquoi l'étude de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) sur les biocarburants se fait-elle tellement attendre ? Ses conclusions seraient-elles gênantes pour la filière des agrocarburants, longtemps considérée comme très prometteuse ? Attendue pour juin 2009, elle vient d'être reportée à septembre.Selon certains observateurs, cette étude devrait lancer un pavé dans la mare puisqu'elle remettrait sérieusement en question les bénéfices environnementaux des carburants verts par rapport aux énergies fossiles. Un revirement de position de L'Ademe qui, jusqu'à présent, soutenait le développement de ces carburants alternatifs d'origine végétale.
la suite ici....
http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/12718/une-etude-de-l-ademe-remettrait-en-cause-les-biocarburants.htmlPublié par ASPE à 23:25 0 commentaires
vendredi 17 juillet 2009
Biocarburants : incertitudes sur la viabilité de la filière blé.
Il faut transformer la règle du jeu. Le directeur de Cohésis, 10ème coopérative céréalière de France (2 000 agriculteurs dans la Marne, la Seine et Marne, l’Aisne les Ardennes et l’Aube, un chiffre d’affaires 2008 de 330 millions d’€, 340 salariés), ne manie pas la langue de bois. Pour Jean Pierre Cochet, l’engagement de son groupe à fournir durant dix ans quelque 10% de sa collecte (1 million de tonne en 2008) à la ligne blé, en production depuis mars dernier, de la raffinerie d’éthanol de Bazancourt près de Reims (plus de 150 millions d’hectolitres par an) est rendu caduc par les nouvelles réalités économiques et écologiques des biocarburants. « Quand on est parti sur cette filière il y a quatre ou cinq ans, le prix de la tonne de blé oscillait entre 90 et 95 €. Il y avait des stocks importants et des jachères. Le monde agricole se demandait comment valoriser la production dans un marché déprimé » explique le dirigeant.
Et de poursuivre : « Aujourd’hui, la tonne de blé pour l’alimentaire est à 140 €/t alors que celle destinée à l’éthanol est à 100€. Il n’y a plus de stocks ni de jachères. La défiscalisation est susceptible de disparaître dans le futur. Tout cela fait que l’usine n’est pas profitable. »
« L’écologiquement correct des biocarburants est remis en cause » juge Jean-Pierre Cochet.
En octobre 2008, le Fond monétaire international s’était ainsi inquiété des conséquences de la plus grande utilisation des céréales pour les carburants verts sur le prix des produits alimentaires, notamment dans les pays pauvres. Le dirigeant semble enfin craindre par avance les conclusions d’un rapport sur le bilan général de la filière biocarburants que l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie doit remettre en septembre.
Publié par ASPE à 23:38 1 commentaires
mercredi 24 juin 2009
L'agrocarburant pèse lourdement sur l'empreinte eau
Une étude présentée par des chercheurs de l'Université de Twente au Pays-Bas, montre que la quantité d'eau nécessaire pour cultiver la biomasse est nettement supérieure à celle d'autres formes de production d'énergie. Ainsi, un litre de biodiesel fabriqué à partir de cultures à base de colza ou de soja, nécessite en moyenne 14 000 litres d'eau !
la suite :
http://www.enerzine.com/6/7782+le-biocarburant-pese-lourdement-sur-lempreinte-en-eau+.html
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Publié par ASPE à 19:09 0 commentaires